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Des professionnels qualifiés étrangers racontent leurs parcours
Samad Hamuch
Samad Hamuch a tout misé sur une carte, a arrêté sa formation en Allemagne et a demandé avec succès sa reconnaissance comme électronicien en automatisation. Aujourd’hui, il est tout à fait dans son élément.
Ammar Allaham
Lorsqu’Ammar Allaham est arrivé en Allemagne, c’était pour lui un véritable choc culturel. Mais le sympathique Syrien a vaincu tous les obstacles et aujourd’hui, il travaille à nouveau comme prothésiste dentaire.
Tarek Khouli
Reconnu et comblé : Tarek Khouli travaille aujourd’hui comme mécanicien industriel et est parfaitement intégré dans l’entreprise qui l’emploie. Même sur le plan privé, il se sent désormais chez lui en Allemagne, après s’être enfui de la Syrie.
Kibrom Gebreyesus
L’absence de certificats et de documents n’était pas un obstacle à la reconnaissance de son diplôme professionnel : à l’aide d’une analyse de sa qualification, Kibrom Gebreyesus a pu démontrer que sa formation professionnelle qu’il avait suivi dans son pays, l’Erythrée, était équivalente à la profession de mécanicien industriel en Allemagne.
Andelina Budimir
En 2014, Andelina Budimir, qui a suivi une formation de physiothérapeute, quitte son pays, la Croatie, pour faire une carrière professionnelle en Allemagne. Après avoir obtenu la reconnaissance totale de son diplôme, elle occupe un emploi permanent depuis janvier 2016 au CHU de Hambourg-Eppendorf.
Eric Appiah
Le ghanéen Eric Appiah est arrivé en Allemagne en 2014. Il a tout d’abord travaillé comme assistant électricien avant d’être promu au poste de technicien après la reconnaissance de son diplôme professionnel.
Faisal Hamdo
À cause de la guerre en Syrie, Faisal Hamdo a quitté son pays natal en 2014. En Allemagne, il s’est construit une nouvelle vie et travaille maintenant en CDI comme physiothérapeute à la clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf.
Salam Omer Mussttaf Al-Gailani
Salam Omer Mussttaf Al-Gailani a fui l’Irak en 2014 pour s’installer en Allemagne. L’évaluation d’attestation de son diplôme de Bachelor a aidé à la réalisation de son rêve de travailler comme psychologue.
Shengyul Abazova
C’est avec un diplôme en économie en poche et 15 ans d’expérience que Shengyul Abazova arrive en 2013 en Allemagne. Deux années de cours de langue, une reconnaissance et une formation qualifiante plus tard, elle travaille comme expert-comptable diplômée.
Bashkim Maksutaj
Bashkim Maksutaj a rejoint sa femme à Kiel en novembre 2016. Juste un an après, le mécatronicien automobile formé au Kosovo obtenait la reconnaissance totale.
Shih-Yen Bayer
La Taïwanaise Shih-Yen Bayer est arrivée en Allemagne en 2014. Après un stage d’adaptation dans une garderie, elle a obtenu la reconnaissance totale comme éducatrice. Aujourd’hui, elle travaille dans un jardin d’enfants à Kehl.
Olga Gotjur
Au début de 2015, Olga Gotjur, professeur d’allemand et d’anglais, a quitté l’Ukraine pour l’Allemagne. Quelques mois après, elle tenait son attestation de reconnaissance entre les mains. Aujourd’hui, elle enseigne à l’école communautaire Johannes Kepler de Mannheim.
Amir Hossein Welk
En 2014, l’Iranien Amir Hossein a fui son pays pour l’Allemagne. En novembre 2015, cet ingénieur de formation a obtenu la reconnaissance de ses études.
Lidiia Skurat
C’est en 2013 que l’infirmière Lidiia Skurat arrive en Allemagne. Elle est tout d’abord sans emploi et, grâce à la reconnaissance, elle exerce à nouveau son métier à temps plein.
Wessal Alkhalil
En Syrie, Wessal Alkhalil était à la tête de son propre laboratoire dentaire et employait six personnes. Après s’être réfugiée en Allemagne, elle a procédé à une analyse et une adaptation de ses qualifications, ce qui lui permet aujourd’hui d’exercer à nouveau sa profession.
Azem Ceka
Azem Ceka est arrivé en 1998 en Allemagne. Le peintre carrossier était tout d’abord employé avant de se mettre à son compte. La reconnaissance de son diplôme lui a permis de passer son examen de maître-artisan.
Margareta Marek
En Pologne, Margareta Marek était technicienne pour la protection environnementale. En Allemagne, elle était mère seule, sans formation et sans emploi. Aujourd’hui, grâce à la loi sur la reconnaissance des diplômes étrangers, la trentenaire exerce à nouveau sa profession.
Jigar Hasso
En 2013, Jigar Hasso a quitté la Syrie pour se réfugier en Allemagne, En 2015, ce cuisinier de formation a obtenu la reconnaissance de son diplôme professionnel grâce à l‘analyse de la qualification.
Judith Yawa Aggor-Edorh
Judith Yawa Aggor-Edorh vit depuis 2004 en Allemagne où elle a fondé une famille. Pour pouvoir travailler comme tailleur, elle a fait reconnaître son diplôme professionnel ghanéen.
Alaa Kheralah
Alaa Kheralah est arrivé en Allemagne en octobre 2014 comme réfugié en provenance de Syrie. En janvier 2015, il recevait déjà la reconnaissance de son diplôme professionnel de prothésiste dentaire obtenu en Jordanie.
Ana Poli
En 2013, Ana Poli, infirmière aide-soignante de formation, a osé un nouveau départ professionnel en Allemagne. Au départ, elle n’a pu travailler que comme aide-soignante, mais entre-temps son diplôme a été officiellement reconnu et elle travaille aujourd’hui conformément à sa qualification comme infirmière dans un CHU de renom.
Fares Schammas
C’est en 2001 que Fares Schammas a déposé sa demande d’asile en Allemagne. Il a tout d’abord fait plusieurs petits boulots avant de recommencer en 2015 à exercer le métier de menuisier qu’il a appris, et ce grâce à la reconnaissance de sa qualification.
Esther Wamala-Bollig
C’est en 2011 qu’Esther Wamala-Bollig s’installe avec son mari en Allemagne, Après 1 an et demi, cette infirmière et sage-femme formée à Jinja en Ouganda a obtenu la reconnaissance totale de sa formation d’infirmière.
Fernando Llusiá de Castro
Fernando Llusiá de Castro est arrivé en octobre 2014 en Allemagne car il n’arrivait pas à trouver d’emploi en Espagne après ses études en sciences du bâtiment. Grâce à la reconnaissance de son diplôme, il travaille depuis octobre 2015 comme ingénieur civil à Bad Düben.
Nelson Safaissou
C’est en octobre 2013 que le camerounais Nelson Safaissou a obtenu son autorisation d’exercer la médecine. Aujourd’hui il travaille dans le service de gynécologie d’une clinique de Leisnig, en Saxe.
Tayfun Tombul
Tayfun Tombul a quitté la Turquie pour rejoindre son épouse à Berlin en 2011. Après une adaptation des qualifications dans le cadre de la procédure de reconnaissance, il a obtenu la reconnaissance totale de sa qualification professionnelle turque de carrossier et mécanicien automobile.
Keivan Daneshvar
Après cinq années de combat contre la bureaucratie allemande, le salut du médecin iranien Keivan Daneshvar est venu sous la forme de la loi sur la reconnaissance des diplômes étrangers de 2012. Celle-ci donnait enfin aux ressortissants de pays tiers un moyen légal d’obtenir l’autorisation d’exercer la profession de médecin.
Harvey Rawlings
Lorsque l’Anglais Harvey Rawlings est arrivé en Allemagne en 2011, il a d’abord travaillé comme saisonnier. Après la reconnaissance de sa formation de mécatronicien automobile, il a trouvé un poste correspondant à ses qualifications.
Gaspare Marulli
L’Italien Gaspare Marulli (36 ans), vit depuis janvier 2012 en Allemagne. Parce que sa grande expérience professionnelle a été prise en compte, il a obtenu sans complications sa reconnaissance totale comme mécanicien industriel.
Dmitry Gladchenko
Dmitry Gladchenko est arrivé en Allemagne en 2011. Frustré par un de ses petits boulots, il a décidé en mai 2013 de lancer sa procédure de reconnaissance. Aujourd’hui, il exerce à nouveau le métier de ses rêves qui est celui d’électricien.
Laila Alim
C’est en 1985 que Laila Alim arrive en Allemagne en provenance d’Afghanistan. Elle travaille aujourd’hui comme infirmière aide-soignante dans les soins ambulatoires.
Josip Vukoje
Lorsque Josip Vukoje est arrivé en Allemagne en 2005, la loi sur la reconnaissance des diplômes étrangers n’existait pas encore. Il ne pouvait donc pas faire reconnaître sa formation croate de mécanicien de maintenance pour les sanitaires, le chauffage et la climatisation, et encore moins son brevet de maîtrise. Il a pour cela longtemps travaillé à un poste inférieur à ses qualifications.
Emma Jover García
Il n’existe pas de procédure de reconnaissance adaptée à la profession de « politologue ». C’est la raison pour laquelle Emma Jover García (40 ans) est très heureuse de l’évaluation officielle de son diplôme.
Christian Giordano
Christian Giordano est arrivé il y a quatre ans en Allemagne. A l’agence pour l’emploi, on l’a informé de la possibilité de faire reconnaître son diplôme. Aujourd’hui, il travaille comme géomètre-topographe et dessinateur BTP dans un bureau d’études.
Alberto García
Sans la reconnaissance officielle, Alberto García, infirmier formé en Espagne, n’aurait pas pu exercer son métier. Depuis l’obtention de son attestation de reconnaissance, il travaille comme infirmier aide-soignant dans le Bade-Wurtemberg et est rémunéré à la hauteur de sa qualification.
Yanina Ketzelman
En Argentine, Yanina Ketzelman a travaillé avec succès comme orthodontiste. La procédure de reconnaissance lui a permis d’obtenir son autorisation d’exercer et elle peut désormais exercer son métier en Allemagne.
Giusi Frazzetta
Pendant plus d’un an, Giusi Frazzetta a travaillé en dessous de ses compétences comme aide-soignante. Après la reconnaissance de son diplôme italien, elle a plus de responsabilités comme infirmière.
Łukasz Wesołowski
Le diplôme d’électromécanicien obtenu par Łukasz Wesołowski en Pologne a été dans un premier temps partiellement reconnu. Après une adaptation de la qualification, M. Wesołowski a obtenu la reconnaissance totale d’électronicien pour machines et technologie d’entraînement.
Christine Schuller
Un mois après sa demande, Christine Schuller tenait son attestation de reconnaissance entre les mains. Aujourd’hui, elle exerce en Allemagne le métier qu’elle a appris en Roumanie.